nom&prénom:Lee Byeol Célébrité: Oh Se Hun âge: 22 ansdate de naissance: 18 Mars 1995 lieu de naissance: Séoul nationalité: Coréen orientation sexuelle: Bisexuel Emploi/études: Pâtissier groupe désiré: Purple Diamond

Que penserais tes parents de la vie que tu mènes ?
Ils n'en pensent rien. Ils s'en foutent royalement. D'ailleurs, je suis même pas sûr d'être encore sur l'arbre généalogique. Je pense que la vieille garce à dû me supprimer comme l'a fait la mère de Sirius Black.

Comment décrirais-tu ta vie ?
Au premier abord, je dirais inutile. Mais quand j'y pense sérieusement, je me dit qu'elle est bien ma vie quand même. Elle est mouvementée. Et puis, il y a quelqu'un qui me fait sentir vivant et qui me diverti au plus haut point.

Que dirait de toi tes amis ?
Que je suis une véritable enflure. Oui je suis comme ça. Je suis bien avec eux, je les adore, mais je n'hésite pas à leur taper dessus quand quelque chose ne me plait pas. Mais c'est pour ça qu'ils m'aiment. Ils savent qui si ils sont dans la galère, je viendrais toujours leur prêter main forte.

Qu'en est-il de ta vie sentimentale ?
Comment dire ? Désastreuse ? Soumise ? Odieuse ? Ouais... tout ça à la fois. Mon coeur n'appartient qu'à une personne sur cette terre. Ma vie lui est entièrement dévouée. Je pourrais détruire des villes entières si il le voulait, mourir pour lui. Mais disons que cette situation ne me plait pas du tout et qu'autant que je l'aime autant je le fait souffrir. Je suis bizarre, je sais. Mais qui aime bien châtie bien non ?
As-tu un souvenir réellement marquant que tu aimerais partager ?
Non certainement pas non. Mes souvenirs ne regardent que moi et je vous emmerde cordialement.

Lee Byeol: fumiste en puissance et fier de l'être. Renié par ses parents car, je cite: "nous ne t'avons pas mis au monde pour que tu te fasse passer pour Al Capone". Précision: Je ne savais qu'il fallait être deux pour accoucher et Al Capone ? Really ? Je n'ai tué personne ... pour l'instant. De toute façon, je n'ai jamais été intégré dans cette famille. Ce n'est donc pas plus mal que j'en fasse uniquement partie que par le nom. Ma chère catin de mère m'a joyeusement jeté dehors avec tout bagage un sac contenant ma console, ma pièce d'identité et une barre chocolaté. Le message était clair hein ? Je pense qu'elle croyait que j'allais la supplier de me reprendre. Grosse erreur. Je fais toujours payer. Le fait qu'elle soit conne m'a grandement rendu service. Jeter un jeune garçon à la rue, même dans ce pays qui exigeait que les jeunes doivent le respect aux aînés, est un crime. Je suis donc partie joyeusement au poste de police le plus proche, sans avoir oublié de me faire quelques bleus, et raconter mon histoire que j'ai bien sûr enjolivé. Chose faite, j'ai été remis à ma famille selon mon souhait. Je dois bien avouer que je leur ai bien pompé du fric avant de me barrer. Enfin... barrer... un grand mot. Mon fucking géniteur adoré m'a acheté une belle maison trèèèès loin de Séoul dans une résidence de haut standing et me verse une pension mensuelle pour que je le laisse tranquille, lui, sa femme et sa petite fille adorée. Comment ça c'est pas bien ? Perso, je m'en fout. Je suis encore mineur et je me suis assuré de cette rente avec quelques documents qui mettrait ma famille aimante dans la plus belle des merde. C'est ça le business.

Au départ, ma vie tout seul, c'était super. Je faisais la fête tous les soirs, je sortais quand je voulais, je mangeais ce que je voulais. Et ça a finit par m'emmerder au bout d'un moment. La routine c'est bien chiant. J'en avait tellement marre que j'étais constamment alcoolisé. Ça rendait ma vie plus joyeuse. Enfin, c'est ce que je pensais avant de le rencontrer.
Je sortais de soirée avec mes potes. Je ne savais pas du tout quelle heure il était, la seule chose que j'avais percuté c'était que le soleil était bien haut et que y'avait un pauvre pecnot sur mon trajet. Je m'étais approché de lui d'un pas incertain mais silencieux. Putain de merde! ça gribouillait vachement bien. C'est à partir de là que mon monde s'écroula. Il se passe quelque chose qui ne s'était jamais produit. Mais vous savez... cette merde là... ce truc qui vous pourri l'existence ! L'amour. Ben c'était ça. Fait chier.
Le bordel, c'est que je lui avait fait peur et que je ne l'avais pas revu. Il me hantait jour et nuit. J'avais arrêter de boire parce que je n'aimais pas que son image soit déformée dans ma tête. J'avais fini par mener une vraie enquête pour le retrouver. J'y ai passé cinq putain de moi avant de lui mettre la main dessus. Vous vous rendez compte ? Cinq mois ! Ça m'énervait au plus haut point. Il m'avait rendu dépendant alors que je ne lui avait jamais encore parlé. Je me rappelle très bien la scène. J'avançais d'un pas décidé vers lui,. J'étais en colère. J'allais lui faire payer de m'avoir rendu cul-cul-la-praline. J'étais proche de lui, j'allais l'interpeler de manière agressive et puis... aucun son ne sortit de ma bouche. Il ne m'avait pas vu, mais moi je le voyait. Je le regardais autant que je le pouvais et remarquai qu'il frissonnait. Et là, j'interdis à quiconque de me juger, je décidais d'enlever ma veste et de la lui mettre sur les épaules. Je me sentais vraiment très mal. Mais j'eus la conscience de lui écrire mon numéro sur la main en tentant de lui expliquer qu'il pourrait me rendre ma veste quand il voudrait. Et je me suis lâchement enfui. Mais j'étais content. Je lui avais touché la main. Je suis resté pas mal de temps sans nouvelles de ma veste. Le petit saligaud me faisait attendre. Je m'étais promis de le lui faire payer d'une quelconque manière, mais quand il a finalement appelé, je suis redevenu un pauvre gamin timide. Il me faisait rager. Je l'aimais. Je lui était soumis. Il me rendait fou. Ma vie entière avait changé à cause de lui. Je m'étais même fait apprenti en pâtisserie parce qu'il aimait les gâteaux. Quand il voulait quelque chose, je le lui donnait, sans compter, sans penser aux conséquences, sans me restreindre aux impossibilités. Je ne le supportais pas. Je l'aimais à la folie et je le détestais pour ça et je le lui faisais bien payer.